Les articles de la Rubrique : Je préserve ma vie professionnelle
EIFFAGE
Depuis près de 30 ans, Dominique T1. vit de chantier en chantier, en France et à l’étranger. Dominique est électricien-monteur sur lignes à très haute tension, à savoir de 63 000 à 400 000 volts ! Déplacements, vie de chantier, solidarités d’équipe et travaux en hauteur rythment sa vie. Jusqu’à ce jour, en Belgique, où il s’est retrouvé coincé sous une caisse de près d’une tonne, suite au déséquilibre d’un transpalette… L’accident est sérieux…
(Publié dans le N°21 : Partir, c'est bien... arriver, c'est mieux !) le 26/02/2013
Cellule d’écoute : être présent à des moments critiques de la vie
Une électrocution mortelle sur les lieux de travail est un évènement brutal, violent et douloureux pour les collègues du chantier. Autre exemple : une rupture d’anévrysme au poste de travail dans une petite entreprise de dentelle de 7 salariés. Malaise, intervention du SAMU, hospitalisation en urgence et, malheureusement, décès le lendemain. Pour les collègues de travail, douleurs, doutes, voire culpabilisation envahissent les pensées.
(Publié dans le N°20 : La Santé au Travail succède à la Médecine du Travail BIENVENUE !) le 01/10/2012
Suite à un accident ou une maladie, chacun d’entre nous peut être confronté à un doute : « Vais-je pouvoir garder mon emploi ou vais-je devoir me reconvertir ? ». L’angoisse s’installe… La situation peut vite être complexe entre les possibilités de l’entreprise, les capacités restantes, la mobilisation des aides possibles, les décisions à prendre. Mieux vaut être conseillé et accompagné au plus tôt par des professionnels spécialisés dans le maintien dans l’emploi. C’est ce que fait le Service de Santé au Travail d’Amiens (ASMIS).
(Publié dans le N°19 : Machine, mon amie) le 18/07/2012
L’alimentation est de première importance pour rester en forme. Par exemple, une alimentation déséquilibrée peut conduire à des difficultés de vigilance et d’attention. Des déséquilibres qui s’installent sur le long terme sont difficiles à corriger. Et les mauvaises habitudes s’installent progressivement et en douceur… De plus en plus, les entreprises mènent des actions d’éducation alimentaire avec leur Service de Santé au Travail. A Estaires, Carrefour Market a bénéficié des prestations de l’AST 62-59 (Santé au Travail Arras-Béthune-Hénin-Lens).
(Publié dans le N°18 : Alcool que veux-tu ? ) le 15/06/2012
Nutrition et santé au travail, une alliance possible
Sans l’appui de l’équipe de santé au travail, Bernard 1 aurait-il perdu ses trente kilos de trop ? « Non » répond Sandrine Lambert, diététicienne à la Santé au Travail d’Arras-Béthune-Lens-Liévin. Cette perte de poids a-t-elle une importance pour l’emploi de Bernard ? « Oui » précise-t-elle « Car il était gêné pour son travail… Et la question de l’aptitude pouvait se poser. Sa prise en charge sur le plan diététique a été décidée avec son médecin du travail ». Sans oublier qu’il existe un Plan National Nutrition.
(Publié dans le N°17 : L'obligation de substitution) le 17/04/2012
« Il est cinq heures, Vron s’éveille… ». Nous sommes en Picardie. Les salariés des établissements Pasquier démarrent leur poste. Le docteur Jean-Luc Lemoine, cardiologue et médecin du travail, ainsi que Rizlène Régui, conseillère en prévention et Intervenante en Prévention des Risques Professionnels (IPRP) sont déjà sur place depuis une demiheure. Tous deux viennent du service de santé au travail d’Amiens (ASMIS).
(Publié dans le N°16 : Nouvelles obligations dès 2012) le 09/12/2011
A l’ADAR Flandre métropole, l’absentéisme a déjà représenté 14 000 jours par an, pour 900 salariés…
La direction a décidé de regarder la réalité en face : la pénibilité du travail en est peutêtre une des raisons. L’activité de cette association sans but lucratif est l’aide à domicile. Elle assure ce service auprès de 6000 personnes. La plupart de ces personnes sont âgées. En dialogue avec les salariés, en particulier au niveau du CHSCT, un projet de prévention s’est mis en place dès 2010. Il associe de nombreux acteurs, tant en interne qu’en externe.
(Publié dans le N°15 : 50 ans... et alors ?) le 28/10/2011
Comment inciter le personnel d’une entreprise adaptée, à porter systématiquement les équipements de protection individuelle (EPI) ? L’entreprise adaptée de Courrières (Apei Henin-Carvin), spécialisée dans les espaces verts, a trouvé une solution : doter chaque salarié d’une sacoche personnelle contenant les EPI nécessaires à son activité et d’un casier pour les ranger dans son vestiaire. Ainsi, chacun peut les retrouver facilement au moment de commencer sa journée de travail.
(Publié dans le N°14 : L'obligation de reclassement) le 15/07/2011
Se déplacer durant des heures au volant d’un poids lourd ne signifie pas bouger. Au contraire !
Les risques liés à la sédentarité, comme l’obésité et les troubles cardio-vasculaires, guettent les chauffeurs… Mais il est possible d’agir avant qu’il ne soit trop tard.
(Publié dans le N°13 : L'etiquette nous parle) le 29/03/2011
89 entreprises disent « oui » à une campagne de Santé Publique, 4500 salariés agissent pour leur santé sur le temps de travail !
Associer, sur leur temps de travail, les salariés à une démarche de santé vis-à-vis du sport, de l’alimentation, de l’usage de tabac et de la consommation d’alcool, voici le pari de 89 entreprises de Picardie. Avec leur Service de Santé au Travail comme allié : MTA à Saint Quentin, ASMIS à Amiens et AISTV à Woincourt. Avec la prévention des cancers et des maladies cardiovasculaires comme but.
(Publié dans le N°11 : Bien au boulot, bien dans ma vie ? ) le 23/12/2010