Les usines Conté à Boulogne-sur-Mer et Samer (62) emploient 304 personnes pour la fabrication d’articles d’écriture. Sur ces 3 dernières années, l’entreprise a enregistré une recrudescence de demande de reconnaissance de maladies professionnelles.
(Publié dans le N°6 : Gestes répétitifs vous avez dit ) le 15/05/2009
Dès le début, nous avons collaboré avec notre médecin du travail. Il nous fallait de l’aide pour élaborer notre Plan de Continuité de l’Activité (PCA).
(Publié dans le N°9 : La santé au travail c'est nous !) le 05/01/2009
Thomas Hitier est responsable d’exploitation de la société Comilog, une usine de métallurgie de 61 salariés. Il nous explique comment s’organise la lutte contre les poussières métalliques :
(Publié dans le N°5 : De l'air, de l'air, oui... mais du bon !) le 05/01/2009
Un de nos caristes s’est retrouvé écrasé par une lourde charge. 18 mois d’arrêt de travail, des séquelles à la main et à la jambe. Impossible pour lui de reprendre son poste.
(Publié dans le N°5 : De l'air, de l'air, oui... mais du bon !) le 05/01/2009
L’entreprise SOCOTECINDUSTRIES est engagée dans une démarche continue d’amélioration de la sécurité. Nous sommes une société de contrôle et de conseil en matière réglementaire, c’est-à-dire que nos salariés se déplacent sur des chantiers, dans des industries chimiques ou pétrolières pour vérifier le respect des normes de sécurité.
Il est préférable de dépenser de l’argent dans la prévention lorsqu’on voit les coûts occasionnés pour l’aménagement d’un poste résultant de sa mauvaise utilisation.
Capitaine Houat, entreprise de mareyage, Boulogne-sur-Mer
Un lien existe entre les contraintes de production et les TMS. Aujourd’hui, la santé des salariés est devenue un enjeu majeur pour Capitaine Houat. Aménagements des postes de travail, meilleure organisation, bon dialogue social sont autant de pistes que l’entreprise explore pour limiter le risque des TMS. Reportage.
Notre document unique réalisé, deux postes logistiques présentaient plus de risques que les autres en termes d’ergonomie et d’exposition : la réception des matières premières et le déchargement des wagons-citernes.La Santé au Travail de Lens-Liévin a réalisé un diagnostic sur ces deux postes. Soit une année d’études et la visite de nombreux spécialistes.
(Publié dans le N°3 : Dos soit loué) le 15/07/2008
Avec les nouvelles réglementations sur les risques chimiques, l’entreprise Renault Retail Group a élaboré un support d’évaluation par postes de travail.Ce support reprend l’ensemble des produits utilisés par le site roubaisien et analyse leurs conditions d’utilisation.
(Publié dans le N°3 : Dos soit loué) le 15/07/2008