Les articles du dossier du magazine N° 58 - TPE-PME : la santé au travail comme facteur de croissance !

Campagne d’évaluation des risques chimiques: 214 SALONS DE COIFFURE DES HAUTS-DE-FRANCE PARTICIPENT

En 2019 et 2020, 214 salons de coiffure ont reçu les professionnels de la santé au travail de leur service de prévention et de santé au travail interentreprises, pour une évaluation des risques chimiques, notamment cancérogènes. Les risques et leurs solutions de prévention ont été identifiées pour différentes tâches : coloration, coupe et mise en forme, décoloration, désinfection, lissage/défrisage, permanente, shampoing. Voici les principaux résultats.

(Publié dans le N°58 : TPE-PME : la santé au travail comme facteur de croissance !) le 10/05/2022

Campagne d’évaluation des risques chimiques: 41 INSTITUTS DE SOINS DE BEAUTÉ DES HAUTS-DE-FRANCE PARTICIPENT

En 2019 et 2020, 41 instituts de soins de beauté ont reçu les professionnels de la santé au travail de leur service de prévention et de santé au travail interentreprises, pour une évaluation des risques chimiques, notamment cancérogènes1. 40 à la tâche maquillage et 41 à la tâche onglerie. En voici les principaux résultats. Sur les 41 entreprises visitées, la substitution de produits dangereux est à réaliser pour 30 % des entreprises.

(Publié dans le N°58 : TPE-PME : la santé au travail comme facteur de croissance !) le 10/05/2022

JUSQU’AU BOUT DES ONGLES DE JULIE

Soins et beauté: la santé, pour les salariées… et les clients !
En septembre 2018, à Compiègne, Julie Palisse, 33 ans, se lance : elle rachète un salon de beauté et crée “Jusqu’au bout des ongles de Julie”, sous statut de SARL. En trois ans et demi, elle crée plusieurs emplois, passant d’une à quatre salariées, tout en formant des apprenties. Sur 250 m2, elle propose des services de soins de beauté, dont sauna et hammam, en privilégiant les produits fabriqués en France.

(Publié dans le N°58 : TPE-PME : la santé au travail comme facteur de croissance !) le 10/05/2022

Coiffeurs, salons de soins de beauté: UNE CAMPAGNE D’ÉVALUATION DES RISQUES DANS LES HAUTS-DE-FRANCE

Dans les Hauts-de-France, 214 salons de coiffure et 41 salons de soins de beauté ont participé en 2020 et 2021 à une campagne d’évaluation des risques et de leur prévention, sur proposition de leurs services de prévention et de santé au travail interentreprises (SPSTI). Nous en publions ci-après des résultats (pages 19 et 21), extraits du rapport d’étude effectué en novembre 2021 par l’Institut de santé au travail du nord de la France.

(Publié dans le N°58 : TPE-PME : la santé au travail comme facteur de croissance !) le 10/05/2022

SALON AB COIFFURE

Depuis 2008, à Auxi-le-Château, Audrey Hinaut tient le salon AB Coiffure, qu’elle a créé. Elle emploie aujourd’hui une salariée. En 2021, Audrey Hinaut reçoit la visite de Nathalie Charpentier, assistante de prévention à ACTION SANTÉ TRAVAIL, le service de prévention et de santé au travail auquel elle adhère. De cette visite, naît une collaboration étroite pour améliorer la santé au travail de son employée. La grande majorité des entreprises adhérentes à ACTION SANTÉ TRAVAIL sont des TPE / PME.

(Publié dans le N°58 : TPE-PME : la santé au travail comme facteur de croissance !) le 10/05/2022

Hauts-de-France: 8 SERVICES DE PRÉVENTION ET DE SANTÉ AU TRAVAIL INTERENTREPRISES S’ASSOCIENT

De 2019 à 2021, malgré la crise « Covid-19 », huit services de prévention et de santé au travail s’associent pour un recueil de données sur échantillon représentatif d’entreprises du code NAF 96.02A (Coiffure) et code NAF 96.02B (Soins de beauté). Chaque entreprise est libre de participer ou de ne pas participer. Au final, 214 salons de coiffure et 41 salons de soins de beauté acceptent.

(Publié dans le N°58 : TPE-PME : la santé au travail comme facteur de croissance !) le 10/05/2022

Entretien avec le Pr Paul Frimat: VERS UNE PHOTOGRAPHIE DES RISQUES ET DE LEUR PRÉVENTIONPAR MÉTIERS ET TERRITOIRES

Auteur d’un rapport(1) sur le risque chimique, qui a fait date en 2018, le Pr Paul Frimat a immédiatement soutenu la démarche initiée la même année par huit services de prévention et de santé au travail des Hauts-de-France (SPSTI). Professeur de médecine, pathologies professionnelles et santé au travail à l’université de Lille et président de l’Institut de santé au travail du Nord de la France, il nous apporte son éclairage.

(Publié dans le N°58 : TPE-PME : la santé au travail comme facteur de croissance !) le 10/05/2022